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 histoire de mon pseudo.prologue

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Alak le Noir
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MessageSujet: histoire de mon pseudo.prologue   histoire de mon pseudo.prologue Icon_minitimeSam 21 Fév - 13:14

Prologue
Todchi se réveilla en sursaut. Il était né. Todchi en était sûr. Le prochain gardien du temple était venu à la vie. Todchi sortit de son lit s’habilla en vitesse, réanima son feu magique (le feu dégageait une grande chaleur, beaucoup de lumière et brûlait sans bois) et sortit de sa cabane. Le soleil levant éclairait le pic Firda, où la neige prenait des teintes roses. si quelqu’un avait regardé au bon moment au sommet du pic, il aurait vu une jeune femme sortir de nulle part. l’explication rationnel à ce mystère, ce tout simplement que la cabane de Todchi est invisible. Mais personne ne levait les yeux vers le pic Firda, et surtout pas au sommet. Car au-dehors de la cabane de Todchi ,la nuit, il pouvait faire jusqu’à moins 40 de température. Mais dans la cabane de Todchi il ne faisait jamais moins que 20 degré, grâce au feu mais aussi au sort de chaleur éternel lancé par Todchi.

Todchi était belle et jeune, ou du moins donnait l’impression d’être jeune, car en fait elle aurais dix milles ans dans deux jours. Sa chevelure noire claquait au vent qui soufflait sur le pic Firda, dans ses yeux d’un émeraude profond, on pouvait apercevoir une touche de tristesse et de mélancolie. Sa peau basanée se mêlait harmonieusement avec le noir de ses cheveux, Sa peau qui lui avait valu tant de haine, sa peau qui montrait son appartenance au clan des déchus, c’est ainsi que l’on surnommait le clan de la Crique. Mais son clan était morts, massacrés ou envoyés comme esclave par des marchands sans-cœur.

Pourtant aujourd’hui, elle ne pensait pas à son clan ni à ses anciens amis, elle avait d’autres choses bien plus importantes auxquelles réfléchir. Elle savait que le prochain gardien du temple était né. Elle ne savait pas où, ni si c’était un garçon ou une fille. Elle devait découvrir tout ça et le ou la découvrir. Elle devait aller partout, or sans Filtif le voyage sera long. Une pensée l’obsédait : le trouver, le trouver avant qu’ils ne le trouve.s’ils le trouvent avant elle ce serait atroce.
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MessageSujet: Re: histoire de mon pseudo.prologue   histoire de mon pseudo.prologue Icon_minitimeSam 21 Fév - 13:18

Tout commença à Gliça, l’immense capitale du pays de glace en 72345 après l’Emergence des îles. Elle dirigeait, de ses 20 mètres de haut, avec tyrannie, tous les habitants du pays de glace, sur l’île de krida. Ce nom a été donné en référence au noms de famille des deux roi qui avait gagné la Grande Guerre : une île séparée par deux peuples (les élémentaires de feu, dirigés par le roi Edonf et ceux de glace). C’est île avait une partie inconnue à l’Est : les terres Barbares tous les aventuriers qui était parti l’explorer, même avec une armée, n’en était pas revenu. Au Nord ce tenait le pays de Glace, appelé girtal-kipo en langage des hommes. Ceux-ci avait été exterminé de la surface de l’île, tout comme les nains. Il y eut une époque où le pays de Feu, en langue humaine Firopeta-firtildu, était allié avec le pays de Glace et c’est cette alliance qui avait triomphé des hommes et des nains. Seuls, les élémentaires de Glace et ceux de Feu se serait fait massacré par l’alliance des nains et des hommes.

À ce moment de l’histoire c’était le roi Fritim krida qui gouvernait le pays de Glace et son frère zuifo celui de Feu.tous deux était d’excellents stratèges et c’est en grande partie grâce à leurs plans de guerre bizarres mais efficaces que les élémentaires avait gagnés la guerre. quatre mille sept cent cinquante-quatre ans après, sous le règne des frères ficada, que l’alliance avait été rompue pour cause de «essai de conquête»,la vérité c’est que le cadet, nadum roi du pays de feu à ce moment là, était fort jaloux de son frère nirtid seigneur du pays de glace aimé de ses sujets. Et donc il avait fait venir par bateau des légions des scopthes, des araignées aillées en provenance de Terre-Mare la troisième île au sud de l’île Krida. Cette île était habité uniquement par les scopthes ,étant les seul à pouvoir supporter la puanteur de l’île et éviter la noyade des les sols marécageux de l’endroit où ils vivaient.

Et dix mille ans après, dans le palais de Vrinka Alti-fina, seizième roi du pays de glace, Salonia Ilto-feri, un élémentaire de glace nommé sergent d’honneur de sa majesté Vrinka, annonça à sa seigneurie, ainsi qu’à son épouse, nommé Salina, qu’il avait repéré une famille de répugnants hybrides (des élémentaires croisés feu glace). Salonia avait des yeux verts légèrement bridés lui donnant l’air d’un chat surveillant tout, mais devant Vrinka et surtout devant Salina il faisait profil bas. À propos, parlons-en, de Salina, elle est autoritaire, elle dirige son mari avec force. En plus, elle est capricieuse et colérique. Pour donner un exemple de sa cruauté, ce qu’elle préfère par-dessus tout (même son mari) c’est torturer avec son fouet lacérateur (c’est un fouet normal sauf qu’au bout des lanières, sont placés des harpons) pendant douze heure, un esclave désobéissant (inutile de dire qu’aucun esclave n’en est sorti vivant) ou encore les massacres humains. Utiliser son pouvoir Griffure fait aussi partie de ses occupations préférées, ce pouvoir zèbre une personne de plaies ouvertes.

Elle demanda froidement à Salonia :
-Où ?
-À Hamo, un petit village près de Halam, répondit Salonia.
-Pars, ordonna Salina la reine de glace, elle se tourna vers Vrinka,
elle et sa chevelure blanche, en pique, un petit personnage sans volonté ayant la même coiffure que sa femme, qui la regardait d’ailleurs de son regard blanc et froid, droit dans ses yeux semi-aveugles.
- Je vais aller à Hamo et je m’en occuperai moi-même.

Aux environs de huit heure du matin, Salina la reine ainsi qu’un soldat, quitta Gliça sur son char de combat, direction Hamo petit village au Sud de Halam. Ils passèrent le pont de Brum, un ouvrage fait de pierre d’une beauté, hélas fanée, qui enjambe le Fleuve de Torgid, avec ses six mètres de hauteur, où un malheureux vigile eut le malheur de leur demander de décliner leur identité, avec arrogance :
-Décline ton identité, femme ou je te tue, dit le vigile sur ses
Grands chevaux.
-Je vais t’apprendre à respecter ta reine, crétin, rugit salina, et à
coups de fouets lacérateur ou de Griffure, dit la reine hors d’elle.
-Pitié ma reine sublime implora le vigile, descendu de ses grands
chevaux et qui s’agenouillait à présent devant la reine dite sublime.
-P . (j'avais des jolis dessins pour le language magique mais j'arrive pas à les mettre)
-Argh

Sous les yeux de tous, l’homme se couvrit de blessures ensanglantées. Il était secoué de spasmes violents et poussait des cris horribles. Tel agissait le pouvoir Griffure qu’avait utilisé la reine.

Elle continua sa route. Avant d’arriver à Garmi, une grande ville fortifiée qui se trouve à l’Est de Gliça, où habite plus de 15 milles habitants, où elle aurait été reçue plus que royalement si elle n’avait pas décidé de se changer, elle abandonna son habit royal, une belle robe blanche immaculée (en fait plus tellement immaculée à cause du voyage ou du meurtre), pour une robe en lin beige. Elle défit sa coiffure en pique et laissa tomber ses cheveux le long de ses épaules et renvoya le garde avec le char. Elle n’aimait pas être dans la masse, ne pas se faire remarquer mais les hybrides, ces êtres dégoûtants, ne devaient pas êtres prévenus avant son arrivée.

À Garmi, elle déclina son identité (une fausse pour ne pas se faire remarquer) sans crime, traversa la ville et arriva à Hamo, un petit village ayant une centaine d’habitants et alla tout droit à une petite masure bâtie sur un seul étage, avec une seule porte - Pas de retraite possible pour les hybrides, pensa la reine - et un toit de chaume, en fait pas toute à fait « tout droit ». Elle prit le temps de se rechanger pour être plus impressionnant et frappa à la porte.
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MessageSujet: Re: histoire de mon pseudo.prologue   histoire de mon pseudo.prologue Icon_minitimeSam 21 Fév - 13:19

Chapitre 2

Une heure de l’après-midi, tout le monde fait la sieste à Hamo. Dans une petite masure dont le seul mobilier est un vieux coffre muni de deux serrures et une armoire contenant des armes juste à côté du coffre et deux lits chacun dans une chambre différente, Alak et son frère aîné, Sina dorment profondément dans un petit lit.

Alak est un jeune garçon de 13 ans. La magie ne se révélant qu’à 20 ans, il fallait donc attendre les vingt ans d’Alak pour savoir s’il était de feu ou de glace. Sina, lui savait déjà car on pouvait révéler la nature d’un élémentaire avant le Terme au moyen de tests très coûteux. Alak est charmeur avec ses grands cheveux noirs bouclés et en bataille, il est grand et mince, ce qui est normal pour quelqu’un qui n’a pas de moyens, leur seul revenu est le salaire bien maigre de zarki, son père. Alak est presque toujours joyeux, intelligent mais peu musclé ce qui ne gène pas selon Cari, sa mère. Mais son père trouve ça gravissime «si on t‘attaques, tu te défendras avec quoi ? La seule chose que tu saches à peu près manier c’est un bâton ! et encore ».Une théorie de garde du corps (qu’il est d’ailleurs). Il porte une chemise en lin beige et n’a jamais d’arme sur lui (ni de protection).

Sina lui est initié au combat, ça le rend mieux aux yeux de papa, pense toujours Alak. Sina a quinze et est de même taille que Alak, lui c’est un élémentaire de glace. Il est passionné pour le maniement du sabre ainsi que pour le lancer du boomerang tranchant, passion qu’il ne partage pas avec son frère. Il a les yeux légèrement bridés et ne se sépare jamais de son armure et de son sabre qu’il porte à la taille et de son boomerang attaché sur la jambe droite. Il fait la fierté de zarki, un bel homme fort et agile et âgé de quarante-quatre. Un puissant combattant de glace doublé d’un père sympa, mais plutôt sévère avec ses enfants. Zarki est discret en société. Il a les cheveux blonds et lisses, des yeux bruns dans lesquels on voit qu’il est toujours attentif et prêt à dégainer l’épée qu’il tiens à la taille et un nez pointu presque taillé au couteau. Ce garde du corps à sur lui, en plus de l’épée, une armure fait dans un matériel léger et qui n’empêche point de se mouvoir rapidement et un boomerang tranchant dans son dos. Son sort le plus puissant est couteau de glace des couteaux jaillissent de son front et vont (essayer de) se planter de son adversaire.

Zarki dormait dans la pièce d’à côté avec sa femme Cari, une élémentaire de feu gentille et belle qui ne c’est pas se battre mais qui conservent caché un gourdin sous son lit “au cas ou”. Cari porte une robe légère, elle a beaucoup de force, mais n’est pas très puissante au niveau magique : son sort le plus puissant est eau bouillante ce sort permet de déverser pendant quelques secondes de l’eau chaude quelque part dans son champ de vision.

Tout est endormi, dans le silence de la maisonnée un bruit infime, mais qui raisonna sur tous les murs de la maison vint troubler le calme.

“toc toc toc”

Zarki fut le premier à être réveillé, il se dit aussitôt que ce ne pouvait pas être de gens du village et par conséquent s’habilla avec son armure et ses armes et réveilla Cari
-Qu’est-ce qui se passe chéri, demanda Cari encore à moitié
endormie.
-Rien, mais on a toqué et je me méfie de qui cela peut être pendant
l’heure de la sieste, répondit Zarki. Je vais réveiller les enfants. Et c’est ce qu’il fit, il traversa la pièce principale et arriva dans la chambre de Sina et Alak. Il se dirigea directement vers le lit de Sina et le réveilla
-Réveille toi, Sina et habille-toi avec tes armes et réveille Alak,
ordonna-t-il
-Pourquoi ? questionna Sina en sortant de sa torpeur.
-Parce que, répondit rapidement Zarki.il redescendit dans la pièce
principale qui servait de salon et de salle à manger et attendit que toute la famille le rejoigne

Quand tout le monde fut réveillé, habillé et, armé, pour Zarki, Sina, et Cari, qui avait pris son gourdin, cette dernière alla ouvrir la porte. Elle appuya sur la poignée et entrouvrit la porte.
-P . (re joli dessins pas pris)
-arrrrgh, hurla Cari, pliée en deux et dont l’échine dorsale sortit de
sous la peau en déchirant et lacérant son dos et cassant la robe. La reine avait une fois de plus utilisé son pouvoir griffure et tué une innocente de plus.
-Que périssent ainsi tout les élémentaires de feu, hurla la reine.
-Fuyez les enfants, murmura Zarki, c’est Salina.
Toute la vie ils avaient entendu parler de Salina et de ses méfaits alors il se cachèrent rapidement derrière le gros coffre dans un coin de la pièce. Zarki se jeta aux pieds de la reine en espérant gagner du temps pour ses enfants, mais ceux si n’avaient pas compris que leur père voulait qu’il s’enfuient.
-Te voila, toi qui as fait le péché suprème, rugit la reine
-Pitié ma reine, implora Zarki qui était agenouillé près du cadavre
de Cari et qui faisait semblant d’être soumis.
-La pitié je ne connais pas ce mot, j’en connais un qui le remplace:
service rendu! Je te tuerai à moins que tu agisses en espion et en combattant dans l’armée qui envahira le pays de feu dans vingt jours.
-Une armée? Fit Zarki étonné et désemparé.
Malgré qu’il soit un élémentaire de glace, il avait toujours considéré le Pays de Feu comme son pays. Ses parents adoptifs étant des élémentaires de feu.
-Oui, une armée composée de deux cents centaures noirs, de quatre
cent cinquante-cinq gnomes des rochers et de trois trolls de combat, plus encore mille guerriers élémentaires de glace et un régiment lacérateur que j’ai moi même entrainé et trois géants de la glace, et pour finir en beauté, quatre bombes et 40 sorciers de destruction.
-Des bombes? questionna Zarki, ne sachant point ce que c’était.
-De très puissant explosif pouvant être allumé à distance, répondit la
reine dont les yeux d’habitudes gris acier pétillaient de joie à l’idée de régner sur deux pays plutôt qu’un et d’imposer sa tyrannie partout sur l’île. Cette conversation s’apparentant à un supplice, n’échappa pas aux oreilles d’Alak, caché derrière le coffre, mais a celles de Sina qui avait réussi à passer par la fenêtre qui se trouvait juste au-dessus de leurs têtes pour aller voir si la reine de glace était venue seule ou avec une escorte qui empêcherait toutes fuites.


- Veut-tu servir ton pays en combattant ou non ?demanda la reine.
Alak était frustré et tétanisé, il aurait voulu aider son père, pleurer sa mère, se laisser aller, mais il se rendit compte que s’il était tué, le pays de Feu était mort avec lui! Et en plus, s’il sortait de sa cachette le gros coffre, contenant dix pièces d’or, trois d’argent et cinq de bronze, qu’Alak prit, se disant qu’ils auraient certainement du trajet à faire, il serait tué avant d’avoir tenté quoi que ce soit.
-Je dis NON, cria Zarki, ƒåø∆¡Ω√,Une dizaine de couteaux de glace
sortirent du front de Zarki et fusèrent vers Salina.

Mais celle-ci fut trop rapide pour la plupart des couteaux. Elle fit tournoyer son fouet lacérateur avec tant de prestance qu’elle brisa presque tous les couteaux, à part deux qui atteignirent leur cible : un dans la jambe, l’autre dans le ventre. Zarki profita du moment où la reine se défendait pour reculer le dos presque contre la paroi, et recommença son sort :
-ƒå, mais il n’eut pas le temps de le finir car la reine balança
son fouet lacérateur vers Zarki.
Celui-ci fit une roulade de côté et attendit, prêt à sauter à la moindre faille dans la défense de son adversaire. Mais son adversaire était beaucoup plus fort que lui et il le savait. Salina repassa à l’assaut avec une haine meurtrière que l’on pouvait lire dans ses yeux. Zarki se saisit de son sabre et para le coup, mais une des lanières du fouet s’enroula autour du sabre et Salima tira un coup sec, faisant lâcher son sabre à Zarki

-Te voilà sans armes, crétin, tu vas mourir, éructa la reine dont le visage déformé par la haine avait presque autant de rides que celui d’une personne de 125 ans.

Elle brandit son fouet lacérateur et l’abattit, mais Zarki avait décidé de se battre jusqu’au bout et alors qu’il tirait le boomerang de l’écrin dans son dos et le jetait dans les lanières du fouet, il vit deux ombres passer par la fenêtre, chacune dans un sens contraire. Le boomerang trancha trois lanières, et trois harpons furent libérés : deux se fichèrent dans le mur et le troisième trouva sa cible: la tête de Zarki. Avant que le pauvre homme ait pu analyser ce qu’il avait vu, il était mort.

La reine lacérait à présent le corps de Zarki en le maudissant de lui avoir fait mal.
-abruti, tu m’as cassé mon fouet, tu vas le payer ! dit-elle d’une voix démente.

Lorsqu’elle leva pour la neuvième fois le fouet, pour envoyer encore un coup au corps de Zarki, elle entendit un sifflement et leva les yeux, pour voir juste à tant un boomerang lui trancher la main droite tenant le fouet. Le boomerang décrit un courbe harmonieuse avant de faire demi-tour et de retourner dans la main du lanceur caché derrière un coffre. Sina offrait des dernières représailles avant de partir. Mais vers quoi ?
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MessageSujet: Re: histoire de mon pseudo.prologue   histoire de mon pseudo.prologue Icon_minitimeSam 21 Fév - 13:22

dsl je vais devoir découper le chapitre en plusieurs parties!

Chapitre 3

Sina retrouva Alak dans le bois derrière le village. Ce bois était formé de Blaron et de Krim, nom élémentaire du sapin et du chêne. Alak était accroupi devant un arbre et pleurait la mort de sa mère. Quand Alak releva la tête, il vit Sina le visage inexpressif comme Zarki lui avait appris à le faire, mais depuis 13 ans qu’il connaissait son frère Alak arrivait à lire une immense tristesse dans ses yeux, il pensa que Zarki avait tué Salina et dit :
-Où est papa ?
-Père est mort, répondit Sina juste avant de s’effondrer et de pleurer,
comme le ferais l’enfant que Sina refusait d’être.
-Non, c’est pas possible pas papa, pas lui, pas maintenant,
pleurnicha Alak.
-Arrête, tais-toi, dit Sina pour calmer Alak.
-Tu n’as pas de cœur, tu m’injurie un tel jour, je ne t’aime plus ,dit Alak.
Ne savant pas quoi faire il se retourna contre Sina.
-Tu mens connard, tu te fous de moi c’est ça, hein? Tu veux que je
meurs de tristesse ! tu n’est pas mon frère tu es une personne qui as pris sa place pour me faire peur. Va-t-en.
Sina jugea qu’il fallait mieux laisser à Alak le temps de reprendre ses esprits et de réfléchir.

Deux heures plus tard, Alak alla trouver Sina qui se reposait dans une petite clairière située environ au centre de la forêt. À première vue il était inconscient de tout ce qui se passait autour de lui, ,mais si Alak avait passé plus de temps à l’observer, il aurait vu que Sina était prêt à bondir sur son arme au moindre bruit suspect. Alak alla s’asseoir près de Sina.
-Excuse-moi, ce que j’ai dit était absurde et je ne le pensais pas. Je suis vraiment …
Il n’eut pas le temps de finir que Sina lui plaquait la main sur la bouche.
-Chut, pas un bruit, chuchota Sina, quelqu’un va entrer dans la clairière.
Sina roula avec Alak jusqu'à la lisière de la clairière.
-Il vient du sud, informa Sina, qui à présent était caché, à côté
d’Alak, derrière un gros Krim.
Tout d’un coup, Sina saisit son boomerang et le lança. Celui-ci atteignit en plein cou un cerf qui avait eu le malheur de déranger Sina. Le cou fut tranché net. Et le boomerang regagna la main de Sina. Celui-ci l’essuya et se releva.
-Bon, eh bien au moins maintenant, on a à manger pour trois jours
au moins.
-Tu trouves qu’avoir faim justifie le fait de tuer?
-La faim justifie les moyens, déclara Sina.

Après avoir dépecer le cerf et utiliser toutes les parties de l’animal, Les aveux purent reprendre.
-Où en étais-je? Ah oui, je suis désolé pour toutes les insultes que
j’ai pu te dire et sache que je ne les pensais pas.
-Ce n’est pas …
-Laisse-moi finir, il va se passer quelque chose d’horrible une
immense armée de créatures servant la reine va attaquer Fuoca d’ici vingt jours.
-Que me dis-tu ? une armée ? composé de quoi ? où ? combien ?
-Je ne me souviens plus de grand chose. mais je crois qu’il y avait
environ mille cinq cents créatures et élémentaires. Elle a parlé de centaures noirs, de gnomes de rocher, de troll de combats de géants de glace et de lacérateur. IL y avait aussi des « bombes » et des trébuchets
-Des bombes ? demanda Sina
-Ce sont des explosifs qu’on allume à distance, j’crois.
-Ça sera un massacre. Des milliers d’innocents et de guerriers mourront, dit Sina qui commençait à peine à mesurer l’ampleur du problèmes et du drame qui se profilait.

-Il faudrait faire quelque chose! dit Alak
-Non, pas « il faudrait », il faut, dit Sina réprimandant Alak sérieusement.
-Il faut, dit Alak en ricanant. Et puis quoi encore, je te vois très bien foncer tout seul à l’assaut de toute une armée. Joli spectacle en prévisions. Ça te ressemble parfaitement, fait donc ton héros va donc à l’assaut de cette armée et je ne donne pas cher de ta peau ! rapide comme l’éclair Sina bondit sur Alak, le plaquant contre le gros Krim qui les abritait et sortant don sabre d’un geste beau et agile.
-Tais-toi et ne retourne pas le couteau dans la plaie au sens figuré ou je pourrais le faire au sens propre, menaça Sina.
-C’est bizarre, mais je ne te vois pas me planter cette lame dans le corps, railla Alak sachant que c’était une menace en l’air due aux émotions. Sina relâcha son étreinte et s’effondra.
-Je ne serai jamais un bon guerrier, pleurnicha Sina. D’un geste qui se voulait réconfortant, Alak posa sa main sur l’épaule de Sina et dit :
-Tu es déjà un bon guerrier, mais tu as manqué de temps pour apprendre à aller au bout de tes actes.
Faisant bouger son épaule de façon à ce que la main d’Alak s’enlèvent il dit :
-Tu me traite de lâche, tu es méchant.
-Non, au contraire, ce coup-ci, c’était mieux car si tu avais été au
bout des choses, tu m’aurais tué.
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MessageSujet: Re: histoire de mon pseudo.prologue   histoire de mon pseudo.prologue Icon_minitimeSam 21 Fév - 13:22

Le soldat laissé en arrière par Salina commençait à s’inquiéter: la nuit allait tomber tantôt et la reine n’était pas de retour. Salina était rapide pour exterminer des hybrides et ne mettait jamais plus de deux heures, or cela faisait quatre heure qu’elle était partie. « Elle a dû rencontrer des problèmes » se dit le soldat.

Le soldat ne croyait pas si bien dire, pour rencontrer des problèmes, elle en avait rencontré. Ces problèmes étaient deux enfants devenus orphelins qui avaient tranché la main de Salina. La reine enrageait, son visage était tordu par une grimace de douleur, de colère et de haine, son bras droit finissait sur une coupure nette, et un ruisseau de sang coulait le long du bras droit levé de Salina. Elle ne savait pas qui était la personne qui lui avait coupé le bras, mais elle savait que c’était un enfant, aucun homme ou femme ne serrait assez petit pour passer par la fenêtre. Elle claudiqua jusqu’à la porte où se trouvait le corps de Cari, ramassa le sabre de son adversaire et de sa main gauche trancha net le corps de Cari à hauteur du ventre.

Cela fait, elle alluma une torche et la lança sur le toit de chaume qui prit rapidement feu. L’incendie prit vite de l’ampleur et atteint la maison suivante aussi en chaume. Le temps que les élémentaires sortent de leur maison, le feu avait déjà atteint une grande ampleur et la moitié du village de Hamo était en flamme. Mais la reine n’était déjà plus là, elle marchait le plus vite que lui permettait la douleur vers Garmi. Elle avait eu de la chance ! pensa t’elle. Le boomerang visait son cou !
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MessageSujet: Re: histoire de mon pseudo.prologue   histoire de mon pseudo.prologue Icon_minitimeSam 21 Fév - 13:23

À la tombée de la nuit, Alak et Sina sortirent le plus silencieusement possible de la forêt et furent choqué par le monstrueux tas de cendre qui était en lieu et place de Hamo. Les flammes finissait de dévorer les dernières maisons. Pour la suite, Selon Sina, il fallait aller prévenir le roi et selon Alak, il fallait qu’il sauve leur vie. Mais tous deux était tombé d’accord sur un point : il ne fallait pas rester là, car, d’ici demain, l’endroit grouillerait de soldats.leur plan était d’aller piquer un bateau au port de Fari et de descendre le fleuve jusqu’au lac de Caro.ce qu’ils allaient faire déplaisaient fortement à Alak ,mais, selon Sina, s’il voulait survivre ils n’avaient pas le choix. Leur plan était sans faille. Du moins … Si tout le monde dormait.

Le plus riche habitant du village était Tork Fido, un marchand, et la maison qu’il possédait à Hamo n’était qu’une de ses résidences secondaires. Tork avait un caractère de cochon et pesait cent kilos et s’empiffrait à longueur de journée de délice au fircina, le fircina est de l’alcool de Fircin, de loukoums sur une écorce de Krim, de…. Beaucoup de met raffiné que, pour un paysan de Hamo, si on goûte une fois dans sa vie on s’estime le plus heureux des hommes. Chaque fois qu’il arrivait, on se demandait comment il avait fait pour ne pas avoir casser les essieux de la diligence dans laquelle il voyageait.

Et ils allaient le voler ! le fait de voler quelqu’un n’était pas bien et contraire au principe d’Alak. Mais tant qu’a volé quelqu’un autant que se soit Tork. Alak se répétait cette phrase dans la tête pour éviter que ces nerfs ne craque et qu’il ne fasse une bêtise.

Le plan était simple : il devait se contenter d’attirer l’attention sur lui en essayant de grimper par-dessus l’enceinte du domaine de Tork. Sina ferait le reste. Comme dans tout les domaines des riches il y avait des gardes, une enceintes aux parois lisse comme du verre et des alarmes magiques sur la porte d’entrée et sur les fenêtres. Ce n’était pas facile d’entrer, mais le domicile n’était pas inviolable. Il y avait une faille : le toit était bas et la cheminée pas protégée magiquement. Ce qui rendait une entrée facile de plus les protections magiques empêchait d’entrer mais pas de sortir ! Et les murailles, depuis l’intérieur n’était de loin pas lisse.Une fois son rôle joué, Alak devait retourner dans la forêt.

A minuit Alak, se forçant à ne pas penser au gigantesque incendie qui avait eu lieu plus tôt dans la soirée commença a grimper sur la paroi.Du moins essaya car les parois n’offrais aucune prise à un grimpeur du niveau d’Alak. En plus les sabot d’Alak n’offrait pas de bonnes pointes ce qui rendait l’escalade encore plus difficile et quand Alak trouva enfin une prise cela fit un tel boucan de crissement de la pierre contre les sabots que quatre soldats arrivèrent au pas de course. La muraille venait de livrer un de ses secrets, si on trouvait une prise au sol dedans il y avait un dispositif magique.Aie, pensa Alak. Sina !

Alak venait de donner le signal quand Sina s’élançait. Dans son entraînement de guerrier, on lui avait appris à ne pas perdre de temps. Or le meilleur moyen de ne pas perdre de temps dans une escalade est de commencer à la moitié du parcours. Ce qu’il fit. Il sauta le plus haut possible et se rattrapa de justesse à une prise repérée à plus d’un mètre du sol.

Le reste de l’escalade fut facile. Il était doué en escalade, selon Zarki il avait ça dans le sang. En pensant à Zarki une vague de tristesse l’envahit et le submergea. Aveuglé par ses larmes, Il faillit rater une prise. Au dernier moment il se rattrapa avec l’autre main. À présent il pendait les jambes dans le vide. D’un mouvement de hanche, il réussit a reprendre pied sur une prise infime .Il avait appris quelque chose : ruminer de sombres pensées pendant une mission était néfastes.il prit pied sur le chemin de ronde deux minutes après. Il fit, sans s’arrêter la désescalade de l’autre côte, ce qui ne lui prit que deux minutes car les pierres étaient grossièrement taillées.il prit pied-à-terre et couru, furtif comme une ombre, en direction de la maison.

Arrivé au pied de la maison, il escalada rapidement un des nombreux piliers qui soutenait le toit. Ce fut très facile car les ornementations étaient nombreuses et offraient des prises faciles.arrivé sur le toit il vérifia si la voie était libre et fonça en courant discrètement jusqu’à la cheminée. Il s y glissa et atterri souplement dans le salon. Maintenant il avait deux objectifs : trouver des vivres et dénicher de l’argent ou des choses échangeables mais pas encombrantes.

Pour l’argent ce fut un jeu d’enfant, il y en avait partout mais caché, cependant rien n’échappa à Sina. Pour les choses échangeables aussi ce fut un simple jeu, il y en avait partout, des bijoux inestimables, des tuniques brodées d’or et d’argent que Sina prit le temps d’examiner pour voir s’il n y avait pas d’initiales dedans, une curieuse petite machine avec deux plateaux relié par une barre d’or qui penchait d’un côté ou de l’autre en fonction de quel côté on appuyait. Sina eut plus de peine à dénicher des vivres qui serait encore comestible après un mois. Il trouva finalement dans la cave une quantité incalculable de lards, de jambon et de saucisse.chargés de tout cela il repartit.

Il passa par les écuries et prit deux chevaux (un portant les affaires récupérées et l’autre montée par Sina). Il mit un cape de voyage et se fit passer pour un domestique au près des gardes de l’entrée. Ceux-ci perdus dans leurs pensées, notamment comment expliquer qu’ils aillent trouvé une trace d’un passage récent et que ces traces commencent a un mètre vingt du sol.ne demandèrent rien de plus.

Sina prit lentement la route menant au bois derrière les restes de Hamo, car, par chance, les arbres n’avaient pas été atteint par le brasier. Sa cape lui permettant de cacher son visage, Sina essayait de ne pas se faire remarquer dans les ruines qui jadis avaient été le village de son enfance. Sina voulait rejoindre Alak et immédiatement partir, cela devenait dangereux de rester par ici et dès demain, selon Sina, le décor désolé qu’était les tas de cendre alentours serait envahi par toute la garde royale. Après ce qu’il avait fait, ils allaient être recherché et peut-être capturé. Perdu dans ses sombres pensées, Sina se coupa du reste du monde et n’entendit qu’au dernier moment les pas de guerrier se rapprochant.

Ne réfléchissant pas aux conséquences, Sina paniqua et perdit tout contrôle de soi, il lança les deux chevaux dans un galop. Cependant les bruits de galopades alarmèrent les gardes qui réagirent immédiatement en doublant leurs vitesses. Les soldats étaient très rapides car ils portaient juste une côte de maille ne les alourdissant pas au point qu’ils en fussent ralenti. En plus l’allure des chevaux, malgré les coups de talons n’était de loin pas soutenue. Sina ne s’y connaissant pas bien en chevaux, étant donné qu’avoir un cheval était un marque de richesse et de fortune, avait pris deux chevaux de trait au lieu de coursier taillé pour la vitesse. Son allure était donc lente et ses chances de semer l’escouade amenuisées.

-qu’est-je fais, pensa t’il, j’ai une escouade au trousses maintenant !
L’escouade gagnait du terrain, lentement mais sûrement. Ils seraient visibles de Sina dans quelques secondes. Même en talonnant le plus possible les pauvres chevaux fatigués, ils avançaient à une allure pataude. Sina sentit que les chevaux ne tiendraient plus longtemps, même à cette allure, ils fatiguaient et ralentissaient inexorablement.
-Pauvre Alak, il va devoir se débrouiller seul, pensa Sina désespéré. Sina entendait les halètements rapides des soldats qui le talonnaient, juste une dizaine de mètres à l’arrière.

Il entendit le bruit chuintant des épées sortant du fourreau, il pensa que c’était la fin, sauf que les lames ne lui étaient pas destinées. Il entendit un ordre crié par un des soldat, des choc entre métal et des cris d’agonie déchirant. Il ne se demanda même pas de quoi il s’agissait ; il prit ses jambes à son cou.

En arrivant aux abords du bois, il fut soulagé de retrouver Alak caché derrière un gros Krim. Alak s’avança à découvert avec un sourire pour son frère aîné. Sina descendit maladroitement de son cheval.
-il faut partir immédiatement,dit Sina à peine avait-il posé pied à terre.
-partir où ? demanda Alak espérant que la réponse de Sina ne soit pas « loin » ou « au pays de Feu ». celle-ci fut encore pire :
-on va voyager de nuit en se cachant le jour et on essayera d’aller dans un endroit sûr, dit Sina. donc ses plans n’étaient en fait vraiment pas clair !
-Et où se trouve cet endroit sûr dont tu parle ? demanda le cadet inquiet et certain que Sina ne le savait pas .
-Au Pays de Feu, fit Sina en voulant couper court à la discussion
-Mais encore ?embêta Alak avec pour, non d’énerver Sina, mais de savoir leur destination précise
-Ça te regarde ? dit Sina agressif pour cacher son incertitude
-Tu peux très bien me dire que tu ne le sais pas, ça ira aussi ! s’exclama Alak inquiet et agacé par son frère.
-bon, on y va ou on attend les soldats ? fit Sina s’acharnant à clore la discussion le plus vite possible pour ne pas perdre la face devant son cadet.
-Ouais, dit Alak en laissant son frère se défiler, mais par où ?

Après s’être brièvement repéré avec les étoiles de cette fin de nuit, Sina partit au sud-ouest. Leur projet était de passé derrière Garmi par les chemins des champs et de dormir à la belle étoile, de cette façon leur passage ne laisserait pas de traces. Ils se mirent donc en route à cheval et s’arrêtèrent pour dormir après 2 heures de trot. Alak avait tressauté sur son cheval pendant ses 2 heures et ne pus plus poser ces fesses par terre. Ereinté par leurs voyages ils s’endormirent immédiatement


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